[11 avril 2025] Comment l’aviation nous permet d’éviter nos crises existentielles ?

Salut,

Aujourd’hui, je t’emmène en voyage, on va parler de comment l’avion explique la crise de la quarantaine…et n’importe quelle crise en fait.

La règle du degré en aviation

Quand un avion prévoit un trajet, il défini un cap.

Au décollage, il doit récupérer ce cap, peu importe les contraintes (vent, sens de décollage…).

S’il prend un cap différent de 1 degré, il peut arriver à plus de 80km de sa destination initiale.

Évidemment, ça dépend de la durée de voyage et de pleins d’autres facteurs.

Mais tu vois le concept {{contact_first_name}}.

Une minuscule différence crée, avec le temps, une grosse différence.

Maintenant appliquons ça à la crise de la quarantaine.

Si tu as suivi ma dernière newsletters tu sais que j’ai passé une nouvelle dizaine dernièrement.

Ce que tu ne sais pas forcément, c’est que ça fait 12 ans que je prépare ce passage.

Pas consciemment, mais quotidiennement,

La crise de la quarantaine c’est quoi?

C’est une accumulation de petits arrangements avec la réalité.

Une petite différence.

Qui s’accumule avec une autre.

Puis une autre.

Qui font une grosse différence.

Qui fait péter un gros câble.

Tu le vois le cliché du film des années 2000-2010 ?

Quand le daron empile 3 conneries dans un sac, divorce, remplace le monospace par une voiture sportive rouge et tout le bordel.

Quand la madre, elle, envoie chier boulot, gosses et belle famille pour respirer un bon coup et s’épanouir dans les bras de Morphée.

Voilà.

Ça.

Sauf qu’en plus il y a un autre phénomène

Celui de la mauvaise montagne.

Imagine tu passes vingt ans à grimper une montagne, pour t’apercevoir que c’est pas la bonne.

Que t’en as absolument rien à foutre de ce que tu as construit.

Genre, encore moins que ta première paire de chaussettes.

Tu t’imagines, passer 20 ans de ta vie à construire une vie qui n’est pas la tienne ?

Y a moyen de se sentir baisé et de tout envoyer bouler en réponse.

C’est là que le coaching intervient.

Pour éviter une crise à 40 ans, le plus simple c’est de corriger le tir avant.

Autant développer une vie qui te convienne, pas à pas, jour après jour.

Autant oser vouloir ce que tu veux vraiment.

Oser confronter le besoin derrière le désir.

Planifier la satisfaction, la réalisation.

S’y coller, avec entrain, méthode et pragmatisme.

Voilà ce que je vois chaque jour en séance.

Bref, tu vaux mieux que ça et je te propose d’explorer la question avec moi quand tu en as envie.

Il te suffit de cliquer ici.

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