Tu vas me remercier le 1er mai (et le 8, et à Pentecôte…)

Salut,

Est-ce que tu je vais te faire une newsletter spécial repos?

Oui, et tu vas kiffer.

On y va?

Commençons au début :

Se reposer, c’est autre chose qu’être feignant, c’est se permettre d’exceller le reste du temps.

Pour lever la première objection qui arrive quand on parle de repos :

« Oui mais j’ai envie de faire des trucs ».

Mais avec plaisir très cher, considérer les temps de repos comme des temps qui nous empêchent de faire les choses, c’est exactement le biais que je cherche à t’éviter avec cette newsletter.

Je te propose la notion suivante : le repos va te permettre de créer l’énergie nécessaire pour faire exactement ce que tu veux.

Si tu me connais un minimum, tu sais que j’aime pas les gens qui forcent pour forcer, pour dire qu’ils forcent ou autre.

J’aime ceux qui savent quand forcer, quand célébrer et quand se reposer.

Le soucis c’est qu’en dehors des sportifs, la plupart des entrepreneurs, parents ou salariés que je connais ne valorisent pas cet aspect de leur vie.

Pire, ils ont parfois des pratiques contre productives pour leur besoin.

On va s’intéresser à la base.

Comment prendre une pause comme il faut ?

La connaissance clef dans ce cas est la suivante : se reposer n’est pas se distraire, c’est faire fonctionner ton corps et ton cerveau différemment.

Et c’est vraiment pas pareil.

Certaines personnes pensent qu’une pause c’est un temps sur Netflix ou à lire les infos.

En vrai, une pause c’est un changement de fonctionnement cérébral. Si tu as un job où tu dois lire et compulser des informations toute la journée, lire les actus, les réseaux sociaux ou autre c’est pas une vraie pause.

Si je passe ma journée à avoir un labeur physique, ma pause ne peut pas être encore plus de labeur physique. Soit on change de type d’activité, soit on passe sur un autre effort, plus cérébral.

Tu vois, faut adopter une pause qui convienne à ton cas personnel.

Quand quelqu’un te dit « fais une pause et va marcher », c’est souvent viable… pour cette personne.

Du coup, regarde un peu comment se passent tes journées, est-ce que tu as une activité à prédominance cérébrale ou plutôt physique ?

Une vraie pause sera donc l’opposé de ton activité dominante.

Si tu passes ton dimanche à jardiner, tu seras bien avec un bouquin.

Si tu passes ton dimanche à bouquiner, une balade sera bienvenue.

Tu vois l’idée ?

Maintenant, il faut aussi créer une condition supplémentaire pour vraiment se reposer : un espace mental.

Tu as déjà dû ressentir ça : tu te poses dans un coin confortable, tu commences à décompresser… et tu penses à ta journée, aux choses que tu dois dire, faire, anticiper, etc. C’est infini.

Comme dirait un de mes clients « c’est l’enfer, quand je me pose, j’ai 80 notifications mentales, c’est impossible de s’arrêter. »

Et c’est exactement le soucis que rencontre les personnes qui ont moins de 3 semaines de congés successives (en gros presque tout le monde).

Nos vies professionnelles sont tellement présentes dans nos vies globales, qu’elles prennent la fâcheuse habitude de s’inviter partout, même quand on veut pas.

Pour contrer ça, le mieux, c’est de faire un protocole de départ en vacances.

Je te laisse le soin de télécharger le doc qui va bien.

Bon weekend

Will

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